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 La Grande Evasion - Partie 4 : Chasseur et Proie

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Alexei Orlov

Alexei Orlov

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MessageSujet: La Grande Evasion - Partie 4 : Chasseur et Proie   La Grande Evasion - Partie 4 : Chasseur et Proie Icon_minitimeJeu 22 Nov - 1:52

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Un coup de feu retentit dans les couloirs. Une autre de ces détonations qui, en l'espace d'une dizaine de minutes, étaient passées du status de seul bruit au milieu d'un silence de mort à celui du bruit de fond. Une gerbe de sang avait giclé sur le mur et sur les vêtements de détenu du propriétaire du flingue. Celui ci tombait en arrière, essoufflé, le visage tuméfié de bleu et égratignés un peu partout. La cible de cet arme, un pauvre connard qui s'était mis sur son chemin. Le vainqueur du duel portait le code 200-587-187 encore bien visible malgré les éclaboussure de sang qui recouvraient maintenant la plupart de ses habits oranges. Il se trouvait dans la salle des gardes ... ou plutot ce qu'il en restait après le carnage qui s'y était déroulé. Les prisonniers l'avaient surement attaqué en premier pour récupérer les armes stockées dans l'armurerie des gardes. La porte d'entrée était littéralement déchiquetée ... comment des prisonniers des blocs 4 et 3 avaient ils fait une telle chose ? Trafiquer la matière n'était nullement dans leur capacité en général.

La pièce était sans dessus dessous. Les tables étaient retournées, comme pour faire une barricade. Un sacré baroud d'honneur s'était déroulé ici. Les impacts de balles avaient rongés le béton autour de la porte. Certaines des barricades avaient fondues, tout comme leurs défenseurs. Une odeur pestilentielle s'échappaient des corps laissés là. Le Vieux était là, le corps coupé en deux par ce qui semblait être un éclat de métal. Le Fauve, lui, avait surement pensé qu'il serait plus en sécurité derrière son grillage que derrière les barricades. Le présent lui montre qu'il avait eu tord. Ledit grillage même s'il était électrifié, n'avait pas du tenir plus de deux minutes faces aux pouvoirs des prisonniers. Ce qui restait de lui n'était qu'un corps emprisonné dans une cage de fer dans lequel on l'avait fait rotir comme un poulet. Fauve ne devait clairement pas être aimé des détenus. Derrière lui, la porte de l'armurerie était pliée. On l'avait forcée. 187 n'espérait pas trouver ici de quoi s'armer. Du moins pas dans l'armurerie. Ce qui l'intéressait vraiment était dans les casiers des gardiens. Usant d'une hache à incendie, laissée par terre par des renégats, il les força sans le moindre soucis pour prendre quelques éléments à l'intérieur. De l'argent, un com'unix, mais aussi un Smart Data Connector et surtout une boite de munitions étranges.


Lorsqu'il refermait ce casier, on pouvait y lire, "Babe" caché sous quelques gouttes de sang. Ouvrant la boite de munitions, il vit alors des balles dont les têtes étaient en fait des capsules remplies d'un liquide légèrement violacé. Il récupéra l'un des nombreux chargeurs sur le sol pour en garnir ses nouvelles munitions et mit le chargeur dans sa poche. Fouillant un peu le corps du Vieux, il y trouva un couteau qu'il savait être quelque part sur lui. Ce vieux fou n'allait nulle part sans celui ci. De plus, au vue de l'état du corps, les prisonniers n'avaient fait que lui prendre son pistolet trop intéressé par ce que refermait la cache à munition. 187 trouva bien le couteau à cran d'arrêt, planqué dans une poche de sa chemise ensanglantée. La récupération de matériel était terminée en moins de 2 minutes. De toutes manières il n'avait pas le temps de s'y attarder plus. La révolte allait être jugulée, il le savait, le temps était donc son ennemi le plus farouche. D'autant que lorsque plus personne ne répond aux commandes, les autorités cessent de faire dans le détail. Il y aura des pertes, ça c'est sûr. 187 alluma le SDC et commença à pianoter dessus à une vitesse étonnante, s'approchant de la dextérité du joueur d'accordéon. Les données défilaient à grande vitesse devant ses yeux alors qu'il les classe et tris sans la moindre difficulté. D'un clique, une image s'afficha "Server Bloc Alpha" c'était le serveur des gardes, l'ensemble de la sécurité de la zone y était concentrée. Il sortit le com'unix pour l'y relier avant de tout mettre dans un sac à dos, se faisant un ordinateur portatif efficace. Il plaça ensuite la hache dans son dos, cela pourrait toujours servir. Il était temps de partir. Son com'unix en main, à coté de son arme, il avançait comme le ferait un agent de police. Sur l'appareil numérique, une barre de chargement était affichée "recherche 50%".

Malgré la prudence qui était de mise, ses pas étaient rapides, esquivant les cadavres sur le sol. Détenus et gardiens s'étaient combattus farouchement, c'est le moins qu'on puisse dire. L'endroit ressemblait alors à une zone sinistrée par la guerre comme il en avait déjà vues. Du haut de ses 45 ans, il avait eu l'occasion de voir le pire de ce que pouvait receler Centile. Les politiciens verreux, les contrebandiers, les révolutionnaires, les sorcier terroristes, les rippoux,... tous étaient à mettre dans le même bateau. Mais là son objectif n'était pas de changer le monde. Ou plutot si, il était de changer le monde en lui retirant une âme bien précise. C'était que ces prisonniers étaient bien organisés et violents. Il n'avait qu'à suivre les traces de sang pour trouver un chemin pour remonter. La plupart des accès, normalement verrouillés, étaient, maintenant, soit totalement éventrés, soit contournés en passant à travers des murs moins sécurisés. Comment pouvaient ils avoir eu une telle connaissance des lieux ? De plus, la plupart des détenus étaient étrangement tombés. Une idée lui vint alors, mais ce n'était pas possible. Ce qu'il voyait lui faisait penser à une image qu'il avait eu l'occasion de voir lors de sa carrière. C'était une affaire de population transformées en des créatures anthropophages organisées. Les gens avaient pulvérisé les colons Centiliens et les forces de défenses. Pourquoi retrouver une telle chose ici ? Mais pas le temps d'y réfléchir, son com'unix venait de lui annoncer que la recherche était terminée et pointait un endroit sur la mini carte qui s'affichait sur l'écran.


"Bloc 2, Zone Ultima, Porte 101 ? Y a jamais eu de zone Ultima ici ..." s'étonna 187.

Sur le plan, la zone en question était un blanc sans annotation. Pas un très gros blanc, mais tout de même une zone qui ne devrait pas exister. Cela l'intriguait et, de toutes manières, il devrait bien monter s'il voulait sortir. Alors qu'il avançait, il remarquait qu'il devait passer au travers de la cour du Bloc 2, tous les autres chemins étant bloqués par des murs en matériaux composites ou bien des portes verrouillées qu'il ne pouvait débloquer. Il n'osait pas imaginer ce que ces malades pouvaient lui faire, lui qui possédait une arme. Dans le doute, il rangea le pistolet dans sa veste et son com'unix dans son sac à dos avant de pénétrer dans l'immense cour. Celle ci était jonchée de nombreux cadavres laissés se vider sur place. La plupart avaient été tués par balle, surement à cause du gardien qui, à l'heure actuelle, était en train de pendre à son perchoir, attaché par ses tripes. Bizarrement, des détenus étaient encore dans le coin. Ils étaient au milieu de la cour, certains étaient déboussolés, d'autres étaient en train de se tenir la tête. 187 était tout de même troublé de les voir dans cet état, alors qu'il y a quelques minutes, certains d'entre eux avaient surement participé à l'attaque de la prison.


* Un coup de feu retentit *

187, surpris, se colla à un mur avant d'entendre le bruit d'un corps tombant inerte sur le sol. Le bruit venait d'un fusil, il en était certain. A vue de nez, il aurait pu juger que ce tir venait du perchoir au gardien. Mais le fait est que ca ne pouvait être lui, à moins qu'il ait appris à tirer à environ 5 mètres de son arme et les tripes à l'air. Passant doucement son oeil près du mur qui le couvrait, il tentait de voir le tireur mais la lampe du gardien était pointée de façon à aveugler les personnes qui tenteraient de le prendre pour cible.

"Am ... Stram ... Gram ... Pik ... Et ... Pik ... Et ... Cole ... Gram ... Bourre ... Et ... Bourre ... Et ... Ra ... Ta ... Tam ... Am ... Stram ... GRAM !"

Une autre balle se logea à quelque mètres de la position de 187, dans le torse d'un autre détenu qui n'avait même pas semblé souffrir au moment de l'impact. Le projectile avait transpercé le corps du pauvre bougre pour se loger dans le béton et y laisser une belle marque. C'était sûr maintenant, c'était un fusil de gardien, avec des balles perforantes. Parfaites pour débusquer les personnes qui se cachent. La voix du tireur résonnait dans cette énorme pièce. C'était une voix enjouée, très enjouée, trop enjouée pour être saine. On pouvait d'ailleurs y entendre une bonne touche de sadisme dans sa manière de chanter sa contine ou encore dans sa manière de commenter son tir.

"Et un autre candidat qui devra revenir en deuxième semaine. Dommage pour lui, il était si près de s'échapper hahaha. Mesdames est messieurs, le suspens est à son comble, les effets de la drogues N'Dour s'estompent peu à peu chez nos candidats alors que leur nombre réduit. Bientot les cibles bougeront et la vrai compétition commencera ... Ah nous avons un candidat un peu plus nerveux que les autres ici !"

187 se pensait découvert, il se colla encore plus au mur avant de se rendre compte qu'avec son fusil, le malade pouvait le trouer comme il le voulait. Un coup de feu retentit encore une fois et un grognement se fit entendre avant de disparaitre. Soufflant de soulagement, 187 remarquait qu'il n'avait pas été touché mais que ce sniper allait l'empêcher de passer pendant un petit moment. Il ne pouvait pas faire le tour, il allait devoir passer en force... du moins essayer. Cette cour faisait une bonne centaine de mètres, c'était bien assez pour se faire trouer pas loin de cinq fois avant d'atteindre un endroit sécurisé.

"C'est qu'il m'a presque pris par surprise l'enfoiré. Mais biens mal acquis ne saurait être profitable à autrui sous couvert de ... la condition ... Enfin bref, c'est mal de triché, j'espère que tu t'en rappelleras quand tu iras rejoindre tes ancêtres"

Sortant son chargeur, 187 comptait le nombre de balles qu'il lui restait. Huit et un chargeur de ces munitions spéciales... cela n'en menait pas lourd. D'autant plus qu'il ne pourrait viser quoique ce soit avec ce projecteur. Il était temps de se servir de ce qu'il avait appris. Sortant son com'unix, il entra dans le système de la prison pour chercher un moyen de désactiver l'électricité de l'appareil. Les codes se craquaient avec une facilité désarmante. 187 en eu même un sourire assez satisfait, voyant que ses années passées ici n'avaient en rien altéré son talent en informatique. Il cibla le réseau électrique de la pièce alors que son adversaire tirait une nouvelle fois sur un détenu à moitié assommé par on ne sait quelle drogue. Il ne suffisait que d'un seul clic pour que toutes les lumières s'éteignent. Il décida d'attendre pour le moment, préparant sa sortie. Il fit alors une petite prière à Galu afin que son plan fonctionne sans accroc et que le Sage guide son instinct. Soudain, il s'élança. Ses pas le menèrent dans une course zigzagant entre les détenus. Ceux ci étaient en train de se réveiller.

"Ah ? Un nouveau candidats ? La foule est en délire et espère qu'il va atteindre son but"

*C'est ça, parle* pensait 187

Rien que cette phrase lui avait permis de gagner quasiment 20 mètres. Plus que 80. Mais le fait est que le sniper était en train de le viser. C'était le moment ! 187 appuya sur le bouton éteignant toute source de lumière. Surpris, le tireur ne toucha pas sa cible. La balle fusa seulement à quelques centimètres de lui. C'était peu, mais c'était amplement suffisant. Le noir complet ayant littéralement envahi la pièce, 187 glissa pour se planquer derrière l'un des nombreux détenus encore dans le coltar. Sans mouvement, sans bruit, il ne pouvait le détecter.


"Qu'est ce qu'il se passe, bordel ? Foutue électricité !"

De rage, le tireur se mit à taper sur la lampe, c'était ce qu'attendait 187, qu'il fasse du bruit, pour le cibler. Doucement, il se releva, pris son arme en main, visa là où il avait vu le projecteur. Le bruit résonnait, ce n'était pas facile de le détecter. Mais 187 cherchait-il vraiment à le tuer ? Il tira une première fois, touchant le projecteur, mais néanmoins assez près pour provoquer un recul de la part du tireur étant donné sa réaction

"Oh putain, c'était pas prévu au programme ça ! Attends que je te choppe !"

Content de son premier tir, 187 fonça dans la direction qu'il estimait être la sortie. Il percuta plusieurs drogués qui tombèrent au sol alors qu'un tir de fusil transperçait l'un d'eux. De toute évidence, il devait tirer au jugé. La résonance de la pièce marchait dans les deux sens. Le fuyard sentait alors que les impactes se rapprochaient de lui. Il tira à son tour, deux balles qui n'avaient aucun espoir de toucher mais forceraient son adversaire à se baisser, lui mettraient le stress pour fausser ses prochaines actions. Il ne devait plus être qu'à une vingtaine de mètres mais dans cette obscurité, il lui était impossible d'en être sûr. Heureusement les autres commençaient à se réveiller, et bougeaient. Ils faisaient du bruit, chutaient en tentant d'avancer à la manière de zombies dans certains films. Le tireur ne savait plus où donner de la tête, il se mit à arroser la zone de plomb. Pas question pour lui de laisser un seul d'entre eux s'enfuir. Sa colère était palpable, alors que 187 était calme, la situation avait changée. Restant immobile, il leva son pistolet et visa en prenant son temps. Une balle lui passa à quelques centimètres, mais il devait garder son sang froid. Il bloqua sa respiration pour que sa main ne tremble pas et appuya sur la gachette. L'impact avait fait un bruit différent cette fois. Il avait touché sa cible. Mort ou non, il lui faudra plusieurs secondes pour se remettre d'aplomb. Ces secondes, servirent à 187 pour foncer vers la sortie alors qu'il rallumait les lumières d'un clic sur le com'unix

"JE TE TROUVERAI !!! JE TE CREVERAI !!!" hurla une dernière fois le maniaque avec son fusil.

A priori, la balle ne l'avait pas tuée. Mais peu d'importance, le fuyard n'avait rien à faire d'une tuerie, cela la révolte s'en chargeait. Traversant des couloirs de plus en plus endommagés, il s'arrêta devant une scène étrange. Un détenu était tombé sur le sol avec pour seule marque sur sa peau une impact de balle plasma sur le front. C'était le macchabée le plus clean qu'il avait eu l'occasion de croiser depuis le début de la révolte. Seul marque de combat récent : six douilles de balles provenant du pistolet du mort. Prenant alors l'arme sur le sol pour voir l'état des munitions, il récupéra ce qu'il pouvait et vit aussi un petit morceau de tissu sur le sol. Un tissu technologique. Un tissu d'une cape cloaking. 187 reconnaissait clairement ce que c'était : une unité d'assaut était déjà dans la place. Elle se dirigeait dans la même direction que lui : la Zone Ultima. Libérant son chargeur quasiment vide, il y plaça les balles qu'il venait de récupérer avant de partir vers sa cible. Il trouva rapidement la porte de ce bloc éventrée. A pas de loup, il pénétra dans la zone. Si sur les plans celle ci faisait quelques dizaines de mètres carrés, l'intérieur faisait au moins 30 fois sa taille. La compression d'espace était une technologie chère pour un camp, surtout quand il ne s'agissait pas de sécurité ou de contention. L'absence de plan montrait bien qu'on voulait cacher quelque chose.


"Ice, tu l'as apporté ?"

"Je me serais farci tout ce chemin rien que pour te dire bonjour, d'après toi ? ... tiens, le voilà. Mais grouille, 5 minutes et 25 secondes avant qu'Hermes n'enclenche les nano-machines"

"Je me mets tout de suite au boulot"

187 avançait accroupi dans cette pièce ressemblant de plus en plus à un labo. A sa droite, un mur de tubes remplis de détenus reliés à des centaines de tuyaux. Leurs fonctions vitales s'affichaient en hologramme. Chacun avait un pourcentage accolé à leur matricule "Processus 80%" ? Mais de quoi bon sang ? Ses yeux passaient alors sur une table d'autopsie où un homme était ouvert au niveau du crane. Entendant les voix, il se cacha alors derrière un plan de travail holographique où le corps du détenu était représenté. Déterminé à savoir ce qui se passait ici, il continua de se glisser pour avoir une vue sur le reste de la pièce. Il la découvrait petit à petit. Au centre se trouvait de nombreuses machines d'analyse médicale venant du Centre. De l'appareillage chirurgical hors de prix étaient installées un peu plus loin. Dans le fond de la pièce se trouvait une pharmacie remplie de produits coutant surement une fortune. On avait investi dans cette pièce. Prenant son SDC, 187 se brancha au plan de travail. Cet endroit n'était pas récent. Il vit défiler devant lui des centaines de dossiers qui étaient autant d'expériences sur les détenus. Il les téléchargea dans le doute pendant qu'il accédait à ce qui l'intéressait vraiment, le controle de tout ce qui se trouvait dans cette pièce.

"Et lui ? Je peux m'en occuper ?

- Mon avis c'est qu'on le flingue.

- Toi et moi, on va bien s'entendre ma belle.

- Je te rappelle que j'ai toujours un flingue sur moi.

Tu n'imagines pas à quel point ce que tu me dis m'excite encore plus."


La personne dont ils parlaient était en train de hurler mais un bâillon était clairement en train de le faire taire. Curieux, 187 prit le contrôle des caméras et commença à observer ce groupe. Groupe particulièrement hétéroclite par ailleurs. En leur sein, on pouvait voir une soldat de force d'intervention, cinq détenus et un gardien. L'un des détenus avait dans sa main un sceptre de prêtre et commençait à incanter. Bon sang mais qu'est ce qu'il se passait ici ? Serrant les dents, il se plongea sur son SDC, il fallait vite prendre le contrôle de l'installation. Les caméras étaient déjà à lui. Au rythme des chiffres s'affichant devant lui tombait peu à peu face à ses assaut informatiques lumière, système anti-incendie, matériels chirurgicaux, drones médicaux. En moins d'une minutes, il avait déjà tout cela entre ses mains. Le terrain était à lui, il était temps d'avancer ses pions.
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La Grande Evasion - Partie 4 : Chasseur et Proie

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